Les sources en ligne
Les webographies :
https://www.zotero.org/groups/4671374/lucas_et_cassiope/library
BENHAÏM Michèle, « Ambivalence maternelle », (en ligne), Spirale, 2002, p. 99-107, n°21.
https://www.cairn.info/revue-spirale-2002-1-page-99.htm
L’article « ambivalence maternelle » est disponible sur la plateforme Cairn, qui est une base de publications scientifiques en ligne, regroupant des articles, et des ouvrages de professionnels dans différents domaines, avec un accès restreint pour certains d’entre-eux. Elle peut constituer une base pour des travaux universitaires, ainsi que des recherches dans des niveaux supérieurs. Le contenu de l’article est stable, car il provient d’un ouvrage collaboratif, sous forme de dossier paru en 2002, au nom de Spirale, qui est une revue de recherche en éducation et formation, publiée par ARED (Association pour la Recherche en Éducation).
L’autrice est Michèle Benhaïm, psychanalyste, et professeur de psychopathologie à l’université de Aix-Marseille. Ainsi, la rédaction de son article, qui s’articule en plusieurs paragraphes, sans illustration, clairement présenté et précis, afin de déployer son argumentaire sur la symbolique de la fonction maternelle, et des conditions psychiques de la mère dans les décisions qu’elle prend vis-à-vis de son enfant, nous a peu aidé dans la réalisation de ce site. Pour faire cet article, elle s’appuie sur aucune citation, et aucune bibliographie. L’article de Michèle Benhaïm constitue une base dans tous les milieux de recherches, aussi bien universitaire qu'amateur.
Enfin, l’article de Michèle Benhaïm reprend certains aspects dans lesquels l’enfant doit se développer, afin d’y être pleinement épanoui. Elle pèse le pour et le contre, notamment avec l’emploi du terme « ambivalence », en reprenant les bases d’une mère « trop haineuse » ou l’exemple de la « trop bonne mère », afin d’y développer une synthèse des conditions afin d’être une bonne mère. Puis, allant vers un stade plus avancé chez l’enfant, à la fois chez l’adolescent, et enfin à l’âge adulte, dans le comportement de la mère, sur l’évolution et l’acceptation de voir grandir son enfant. A terme, les informations que cet article contient ne pourront s’avérer utile à notre sujet. En effet, le sujet abordé traite d’une représentation de l’amour maternel et non des aspects psychiques qui sont difficilement décelables dans les œuvres.
FORMOSO Émilie, “Le nouveau visage de l’amour maternel », (en ligne), Histoire par image, 2015.
https://histoire-image.org/fr/etudes/nouveau-visage-amour-maternel
L’article « le nouveau visage de l’amour maternel », disponible sur la plateforme "l’histoire par l’image", est un site en partenariat avec deux ministères (culture, éducation nationale) afin d’offrir des interprétations, ou des petites recherches sur des œuvres qui ne se destinent pas à la sphère universitaire mais plutôt dans les niveaux d’enseignements inférieurs. Ainsi, le contenu représente une première approche dans le sujet que l’on souhaite rechercher mais ne peut constituer une base de travail pour des travaux universitaires. De plus, le contenu de l’article est stable, d’après sa date de parution (2015).
L’article est rédigé par l’autrice Emilie Formozo, dont les informations sur le site internet ne figure pas. Ainsi, l’article rédigé par l’autrice se présente sous trois formes : contexte, analyse, interprétation. Les parties reprennent chacune à leur tour des explications sur la peintre Elizabeth Louise Vigée Le Brun, et apportent une certaine compréhension dans la place de l’enfant, pour l’illustrer dans la peinture. Le contenu présente une image, sur laquelle l’auteure développe ses arguments, dans les trois parties précédemment citées. La bibliographie présente quelques ouvrages, et aucune note au sein de l’article. Par conséquent l’article ne peut pas servir à des travaux de types universitaires, car la proportion du développement est bien trop insuffisante, ainsi que l’annotation en bas de page des références que l’on pourrait retrouver sur un article scientifique.
Pour finir, Emilie Formozo reprend certains aspects des éléments fondamentaux dans la compréhension de l’artiste Elizabeth Louise Vigée Le Brun, en remettant à la fois le contexte qui donne lieu à une peinture de ce genre, et à son évolution dans la représentation de ce thème. En passant, par la place qu’une femme artiste pouvait avoir au XVIIIème siècle, chose peu courante comme elle le souligne. Enfin, l’article permet d’adjoindre quelques éléments pertinents à notre sujet mais présente un caractère trop bref pour en tirer de vraies informations utiles à la construction de notre sujet.
GALLOYER Anne, "l'enfant vu par les peintres au XIXème siècle : la Prime Enfance", (en ligne), Calaméo, 2014, p.7-85.
https://fr.calameo.com/read/0066583576c68651f7fab
Cet ouvrage est disponible sur la plateforme Calaméo, service en ligne permettant de consulter de nombreux ouvrages ayant été numérisés. Cet ouvrage a été publié en 2014 dans un catalogue d’exposition, nommée « l’enfant vu par les peintres au XIXème siècle : la Prime Enfance ». L’auteur de ce document est Anne Galloyer, conservatrice au musée Fournaise. Elle est une professionnelle, et plus particulièrement une historienne de l’art. Cette source a une légitimité académique car l’autrice a une certaine reconnaissance dans le domaine, cela donnant une légitimité.
Cependant, cette seule source ne suffira pas à la réalisation d’un devoir complet, d’autres sources numériques seront nécessaires. Ce texte a un degré de stabilisation qui ne peut être modifié, car il a été publié en 2014. L’ouvrage ne peut donc être modifié. Les sources ayant servies à la réaction sont mentionnées dans la partie Bibliographie située à la page 82. Cette source contient des images, commentées par des textes, ainsi qu’une mise en contexte historique. Les images sont des photographies de tableaux d’artistes du XIXème siècles, représentant des mères avec leurs enfants ou des enfants. Le contenu propose une qualité intrinsèque très intéressante et complète. On a une grande clarté et le texte et bien découpé. Le seul problème est qu’une partie du contenu est toujours sur la page suivante, donnant plus de difficultés lors de la lecture. Les idées principales sont de voir les caractéristiques de l’amour maternel dans l’art du XIXème siècle, et comment les artistes le représentent.
Ce contenu a été très pertinent par rapport à notre d’informations car il propose de nombreux exemples et est très bien expliqué. Cela a permi de trouver des tableaux pouvant illustrer nos propos, ainsi que d’avoir certaines idées clés sur le contexte historique.
KORFF SAUSSE Simone, « La représentation des enfants morts dans l’histoire de l’art », (en ligne), Cairn, 2014, p.46-48.
https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2014-9-page-46.htm
L’article « La représentation des enfants morts dans l'histoire de l'art » est accessible sur la plateforme Cairn, qui est une base de publications scientifiques, regroupant diverses formes de contenus, à travers des revues, ouvrages ou autres. Elle figure, comme une base de données sérieuse, grâce à ses articles scientifiques qui peuvent être utilisés pour tous types de travaux, aussi bien universitaires qu'amateurs. Mais elle est accessible en accès restreint pour certaines personnes, et ne peut présenter l’essentiel de ses contenus. Le contenu de l’article apparait dans la revue Carnet PSY, qui est spécialisée dans la psychologie clinique d’orientation psychanalytique. Par conséquent son contenu est stable par son année de parution (2014), et ne peut être modifié.
Ainsi, l’auteure est Simone Korff-Sausse, psychologue-psychanalyste, et anciennement enseignante-chercheuse à l’université Diderot à Paris 7. Elle nous présente son article, qui se structure en paragraphes, sans parties précisément définies, et ne contenant pas d’illustrations. De ce fait, son argumentation s’oriente, sur les débuts de la représentation de l’enfant mort, et sa perception, ainsi que sa place dans une échelle chronologique, allant de l’antiquité, jusqu’à nos jours. Les notes sont contenues dans l’article sous forme d’une bibliographie, reprenant les éléments dans lesquels l’auteure veut s’appuyer, et nous communique ses ouvrages de référence pour fonder son argumentation. C’est pourquoi, ces informations représentent une base de travail pour tous les types de travaux.
Pour conclure, Simone Korff-Sausse a réalisé un article, dans lequel sa thèse reprend les origines de la représentation des enfants morts, pour faire communiquer l’évolution de cette pratique, qui au fur et à mesure des époques rencontrées évolue dans la place de l’enfant, et dans son acception dans la cadre « familial ». De plus, avec les nouvelles technologies, elle nous permet de faire un parallèle avec cet acte ou ce « rite » de la représentation qui traverse les âges. Enfin, l’article consulté répond pleinement à notre sujet, en élaborant un parallèle avec les deux façons de représenter l’amour maternel, à la fois du vivant, ou lors du décès. En citant certains auteurs elle permet de créer un lien autour de notre thématique et d’en apporter plus de précisions à ce sujet.
MOREL Marie-France, “l’amour maternel : aspects historiques », (en ligne), Spirale, 2001, p.29-55, n°18.
https://www.cairn.info/revue-spirale-2001-2-page-29.htm?ref=doi
Cet ouvrage se nomme « L’amour maternel : aspects historiques » et est disponible sur la plateforme universitaire CAIRN, permettant une diffusion d’ouvrages scientifiques et de textes dans le domaine des sciences sociale. L’article a été publié en 2001 et se situe entre les pages 29 à 55, dans la revue n°18 de Spirale. Spirale est une revue de recherche basée sur la question de l’éducation. L’autrice de cette source numérique est Marie-France Morel. Elle est identifiable car la ressource numérique sur laquelle se trouve le texte présente toujours le nom de(s) l’auteur(s) du texte, en haut à gauche, et souvent en couleur (vert). L’autrice est une spécialiste, et est une historienne, ancienne professeure à l’École normale supérieure. Elle est spécialiste des questions sur la jeune enfance.
Cette source a une légitimité académique car elle est disponible grâce un en abonnement ENT, et vient d’une écrivaine avec une certaine reconnaissance dans le domaine de l’ouvrage, donnant une légitimité. Cependant, cette seule source ne suffira pas à la réalisation d’un devoir complet, d’autres ressources numériques seront nécessaires. Ce texte a un degré de stabilisation qui ne changera jamais car il vient d’un article publié en 2001. Cela veut donc dire que l’ouvrage ne peut être modifié. Les sources ayant servi à la rédaction sont présentes en bas de l’article. La source que je commente contient du texte mais aucune illustration. Le contenu est de bonne qualité, malgré le fait qu’il est parfois complexe à comprendre. On a cependant une bonne qualité intrinsèque et une démarcation en chapitres et sous chapitres structurant les idées et donnant une plus grande aisance dans l’assimilation des connaissances. Les idées principales abordées sont la notion de l’amour maternel, avec l’émergence d’une considération pour l’enfant, et ce qui entraine cela. Les périodes citées sont assez vastes, mais restent tout de même basées sur l’époque moderne. De nombreux autres ouvrages sont cités pour donner des arguments aux propos.
Ce contenu a été un des plus pertinents pour apporter les informations nécessaires à l’élaboration des propos contenus dans le site. Il permet de comprendre l’apparition de cette notion « d’amour maternel » ainsi que son évolution dans les siècles, permettant de comprendre son histoire, et pouvant ainsi permettre de mieux contextualiser nos recherches.
PERNOUD Emmanuel, « Corot : le modèle enfant, l’impression d’enfance », (en ligne), Open Edition, 2009, p.33-55.
https://journals.openedition.org/gradhiva/1344
L’article « Corot : le modèle enfant, l’impression d’enfance » est disponible sur la plateforme OpenEdition Journals, qui elle-même est organisée sous forme d’une base de données, regroupant des journaux de recherches en sciences humaines et sociales. Regroupant un champ de domaines très variés, ce site est accessible à la majorité des personnes intéressées, et constitue une source, pour mener à bien différents travaux, qu’ils soient amateurs ou universitaires. Le contenu de l’article présenté est stable, car il est contenu dans la revue Gradhiva, paru dans l’année 2009, et se constituant des champs de recherches anthropologiques et d’histoire des arts, publiée par le musée du Quai Branly.
Emmanuel Pernoud, auteur de cet article, est professeur à l’université Paris 1, spécialiste de l’art contemporain. Il déploie son article avec des paragraphes, qui sont eux-mêmes divisés en quatre parties, sans illustrations. Le sujet traité communique, et démontre les choix de l’artiste Jean-Baptiste Camille Corot, peintre qui représenta de nombreux portraits et paysages, ou mises en scènes d’enfants. Ainsi, l’auteur s’appuie sur différents textes littéraires qui ont pu inspirer le peintre, et analyse la façon dont il s’inspire de cette littérature à travers son art, en passant par sa façon de peintre, aux significations des objets contenus au sein des scènes. La bibliographie de l’article est vaste, et s’appuie sur les auteurs qui ont pu inspirer l’artiste à travers les citations qu’a pu faire Emmanuel Pernoud dans son analyse. Les notes sont quant à elles des citations de l’artiste lui-même, ou des citations plus longues qui ne pouvaient être comprises dans le texte. En outre, l’article qui a été composé par Emmanuel Pernoud constitue une base de données sérieuse pour tous types de travaux.
Pour terminer, l’auteur permet à travers cet article de comprendre les motivations, et les influences de l’artiste dans l’explication qu’il nous en donne. Il reprend l’impression de l’artiste sur son art, en le citant, ainsi que sur sa manière de procéder, pour analyser ce qui caractérise la peinture de cet artiste vu d’un « œil naïf » par la critique mais qui va s’avérer franchir une étape, à la fois dans le choix de son sujet, et par sa touche, constituant un artiste incompris pour certains mais pas pour d’autres, comme pour Charles Baudelaire. Enfin, cet article va constituer, pour notre site, une base d’informations qui répondent pleinement à notre sujet de l’amour maternel, avec la précision des éléments apportés par l’auteur.
PERNOUD Emmanuel, « Corot : le modèle enfant, l’impression d’enfance », (en ligne), Open Edition, 2009, p.33-55.
https://journals.openedition.org/gradhiva/1344
Cet article est disponible sur la plateforme de la Petite Galerie du musée du Louvre, qui est une plateforme de diffusion des tableaux les plus célèbres des collections, avec un texte explicatif, dans le domaine des arts et des sciences humaines. Il n’y a aucune possibilité de savoir la date de publication de l’article ainsi que son auteur, car c’est l’organisme du Louvre qui a publié ce document, et non une personne en particulier. L’accès est possible juste à une information expliquant que cette œuvre fait partie des expositions et collections du Louvre. Les auteurs de cette source sont des professionnels, et surement des historiens de l’art. Cette source a une légitimité académique car elle est publiée sur le site d’un grand musée français.
Cependant, cette seule source ne suffira pas à la réalisation d’un devoir complet, d’autres ressources numériques seront nécessaires. Ce texte n’a pas un degré de stabilisation fixe, car n’importe quel historien du musée peut proposer de le changer. Les sources ayant servies à la rédaction ne sont pas proposées à voir. Cette source se compose de deux images d’une même œuvre, dont une étant un agrandissement, ainsi qu’un cartel et un texte comprenant une citation de Barthélémy Mouffle D’Angerville. Ces deux images sont des photographies du tableau de Madame Lebrun, peintre française du XIXème siècle. Le contenu propose une qualité intrinsèque intéressante, avec une certaine clarté. Les connaissances proposées sont faibles, une bonne connaissance de l’œuvre et du sujet n’est pas réalisée après lecture de cet article. Les idées principales bordées sont celles de la bonne éducation, ainsi que de la fierté d’être mère. La période citée est faible, le XVIIIème siècle, même si une allusion au XVème siècle est rapidement proposée.
Ce contenu a permi de pouvoir trouver une citation en lien avec notre sujet, et pouvant ainsi illustrer notre page d’accueil, mais le contenu est trop faible pour réellement pouvoir apprendre quelques choses. L’impression que donne ce texte est plus d’être une anecdote qu’un texte historique chercher à étayer un sujet. Avec les explications proposées sur l’œuvre de Madame Lebrun, on a pu mieux comprendre quelques enjeux de la représentation de l’amour maternel au XVIIIème siècle.
PIERREHUMBERT Blaise, « l’amour maternel, un amour impératif », (en ligne), Spirale, 2001, p83-112, n°18.
https://www.cairn.info/revue-spirale-2001-2-page-83.htm
Cet article est disponible sur la plateforme Cairn, qui est une plateforme de diffusion de textes et d’ouvrages scientifiques, dans le domaine des sciences sociales. L’article a été publié en 2001 et se situe entre les pages 83 à 112, dans la revue n°18 de Spirale. Spirale est une revue de recherche basée sur la question de l’éducation. L’auteur de cette source numérique est Blaise Pierrehumbert. Il est identifiable car la ressource numérique sur laquelle se trouve le texte présente toujours le nom de(s) l’auteur(s) du texte, en haut à gauche, et souvent en couleur (vert). L’auteur est un professionnel, et plus particulièrement un docteur en psychologie. Cette source a une légitimité académique car elle est disponible grâce un en abonnement ENT, et vient d’un auteur avec une certaine reconnaissance dans le domaine de l’ouvrage, donnant une légitimité.
Cependant, cette seule source ne suffira pas à la réalisation d’un devoir complet, d’autres ressources numériques seront nécessaires. Ce texte a un degré de stabilisation qui ne changera jamais car il vient d’un article publié en 2001. Cela veut donc dire que l’ouvrage ne peut être modifié. Les sources ayant servi à la rédaction sont présentes en bas de l’article. La source que je commente contient des textes, avec des images complétées d’illustrations. Ces images sont des schémas, des tableaux et des photographies de femmes accouchant, ou de femmes dans des activités quotidiennes avec leur enfant. Le contenu propose une bonne qualité intrinsèque avec une grande clarté, une bonne division des parties et sous-parties ainsi que de nombreux détails permettant une connaissance pointue du sujet. Les idées principales abordées sont la notion de bonding et l’idée de la naissance d’une « préoccupation maternelle » dès la venue au monde de l’enfant. Les périodes citées sont vastes. De nombreux sujets dérivant de l’idée de l’amour maternel sont présents, comme le comportement des enfants nés sans mère, qui sont souvent plus durs et violents, la présence de l’attachement, qui permet un développement plus rapide chez l’enfant, ainsi que la question de savoir si ces idées viennent de la nature ou d’une idéologie commune.
Ce contenu a été pertinent par rapport aux besoins d’informations car il traite de l’ensemble du sujet et permet de trouver les informations nécessaires grâce à de nombreux détails et exemples permettant de justifier les propos de l’auteur et de les illustrer. Cela va permettre d’expliquer la notion d’amour maternel, et de pouvoir développer quelques aspects « scientifiques » qui vont permettre d’introduire notre sujet de l’amour maternel dans la peinture en France au XIXème siècle.
STORK Hélène, "Enfance (les connaissances) - La petite enfance", (en ligne), Encyclopedia Universalis.
L’article « enfance » se trouve sur le site « Encyclopedia universalis » qui est une encyclopédie professionnelle à la portée de tous, qu’ils soient universitaires ou amateurs. Elle constitue une base de référence sur des sujets généraux, mais également des sujets traités avec précisions qui sont écrits par des professionnels dans leurs domaines. Cette base peut constituer un apport d’informations pour certains types de travaux universitaires, mais ne pourra être utilisée pour des travaux de niveaux supérieurs. Le contenu est stable, et l’article est rédigé par l’autrice Hélène Stork, professeure clinique et anthropologique, ainsi que docteur en médecine, lettres et sciences humaines à l’université Paris IV Sorbonne René-Descartes.
L’article se déploie sur plusieurs paragraphes rédigés, et illustrés d’images, ainsi qu’un portrait, et une photographie. Les arguments de l’auteure sont clairs, et appuyés par des citations d’autres professionnels dans le domaine de l’enfance, en reprenant notamment, les travaux de Sigmund Freud, et Mélanie Klein, qui ont travaillé sur le sujet des premières années de la vie d’un nourrisson, dans sa formation psychique et dans les premières émotions constructrices, ainsi que dans son évolution au sein de son environnement. La chercheuse s’appuie donc sur un bon nombre d’ouvrages de référence, notamment académiques, et de recherches, constituant une base sérieuse dans les premiers instants de la recherche pour une étude.
L’article de la professeure Stork permet une certaine approche dans le sujet de l’amour maternel, dans les débuts de la vie d’un enfant, du stade fœtal, jusqu’aux deux premières années de sa vie. Ainsi l’article, reprend les concepts d’une genèse des premiers stades de vie constructeurs, allant de la formation de sa personnalité dès le bas-âge, jusqu’au remaniement partiel, qui intervient à l’adolescence. Cet article, dans le cadre de notre recherche d’informations ne va pas apporter d’éléments à notre site car il revêt un aspect psychologie qui ne peut être pris en compte dans la description d’une œuvre, ou dans l’intention de l’artiste.
« L’amour maternel ». In Wikipedia, 7 mars 2022.
https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Amour_maternel&oldid=190831321
Cet article se nomme « l’amour maternel » et est disponible sur l’encyclopédie collective Wikipédia. L’article a été écrit pour la première fois le 20 septembre 2008 à 15H00 par une personne s’identifiant sous le pseudonyme de Lylvic. L’auteur de la ressource n’est pas identifiable, car Wikipédia fonctionne par création de contenu grâce à une collectivité. Les auteurs peuvent aussi bien être des professionnels que des amateurs. Cette source n’a donc aucune légitimité académique, car elle est le fruit d’un travail collectif, dont la reconnaissance des auteurs n’est pas établie. Il est donc évident qu’elle ne pourra être suffisante dans les recherches, ni figurer dans le travail. Il n’y a pas d’avis d’internaute, mais des modifications dans le texte, en fonction des connaissances que chacun souhaite apporter.
Ce texte a un degré de stabilisation instable car il peut changer en permanence, et en direct. L’article peut donc être modifié. Certaines des sources ayant permis l’écriture sont citées en fin de page comme références pour approfondir le sujet. La source que je commente contient des textes, avec des images complétées d’illustrations. Les images sont des photographies. Le contenu propose certaines connaissances intéressantes, mais manque parfois d’informations. La division est cependant claire, avec des parties et sous-parties, structurant le texte. Les idées principales abordées sont celles de la théorie de l’attachement, de la place de l’ocytocine ainsi qu’une approche d’un point de vue affectif et d’un point de vue scientifique.
Ce contenu a été intéressant pour avoir une première connaissance du sujet que l’on souhaite traiter, avec des exemples pertinents, mais il s’agit d’une première approche, relativement « vague », qui n’a pas permis une avancée plus précise dans le travail et le sujet. Cependant, certaines notions permettent, même si elles ne seront pas utilisées dans notre sujet, de mieux comprendre ce qu’est réellement l’amour maternel, une notion plus complexe qu’à première vue.